20070303
Faux miroir
Moi, je n’avais pas de choix. J’ai l’accepté comme un cadeau. Comme les cadeaux qu’on n’aime pas parce qu’ils ne sont pas des cadeaux pour jouer. Donc, je le regarde. Sans le voir. Les yeux surmontent la superficie de bois. Ils rentrent - ou sortent - et essayent de trouver quelque chose de vivante dans cette réalité. Ils rencontrent le vide. Pour ce qu'il est dedans, le vide est tout qui est dehors.
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