Ce n'est pas la première fois que je trouve une personne dont le parfum était déjà connu. C’était la fin de l’hiver à là-bas. Je suis rentrée chez moi et, comme d’habitude, j’ai allumé un encens sans savoir qu'il pouvait amené toutes les fragrances de l’été. La peau, les cheveux, le drap. L’appartement fermé et chaud, le soleil et le vent. C’était comme si je sois rentrée à Paris. Quelque mois après, je me suis envoyé à Paris pour la quatrième fois. Le parfum était différent (curieusement aussi connu).
Dans ma boîte, je pouvais sentir un mélange du passé et du présent: le moquette inondé par la cigarette et par les cendres. Et encore l’encens, le chocolat, les chansons d’El Perro del Mar et l’hiver. Ça fait quelques jours que ce mélange à gagné un autre élément: le parfum d’un matin unique.
Ce n’est pas plus à personne. C’est à moi.
20070316
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)


Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire